Tous azimuts

26 octobre 2006


Tout azimut ?
Au singulier, car on ne peut les regarder que les uns après les autres.
Parce que la vie est faite de multiples facettes , venez les découvrir et les enrichir de vos commentaires afin de partager des émotions, des sentiments, des analyses...
N'hésitez pas à laisser une trace de votre passage !
francis.lere@wanadoo.fr

15 octobre 2006

Froid dans le dos

Sarko tel que je l'imagine et tel que des personnes le voient !
http://www.dailymotion.com/video/x72d4_le-vrai-sarkozy

Je suis outré de l'attitude de l'éducation nationale qui a à peine réagi à la situation de ce prof de philo, on devrait ajouter le droit d'insulte dans la constitution !
http://www.petitionredeker.info/

Que le débat commence

Ca y est, la parole est à nous, on va pouvoir décider de quelque chose et pas des moindres : décider qui va être notre candidat à la présidence de la République. En plus on a le choix ! Trois noms, trois profils, trois carrières, trois plausibles possibles.
On peut quand même s'interroger : 200 000 personnes qui décident pour combien d'autres qui pourraient aussi être parmi nous, mais faut dire que l'engagement politique parait tellement être hors de notre temps ...
Alors on se raccroche aux sondages, à l'image qu'il est donné de nous sauf que les sondeurs ne savent pas qui est dans quoi, bref ils n'ont pas le fichier.
Trois noms plausibles, et chacun de ces trois y va de son comité de soutien et la déferlante du questionnement "et toi tu es pour qui?" bat son plein. Listes des élus, de ceux qui ont leur poids d'influence dans les sections circulent via le net. Les réunions se font dans les cafés pour organiser la riposte, trouver les arguments et toujours compter, compter.
Certes quelques uns discutent, s'envoient des messages, des réflexions personnelles, décrivant les doutes, les incertitudes mais aussi les raisons, leur volonté de voir plutôt un tel que tel autre.
Un peu de respect, mais le moindre écart attire la virulence des mots.
On peut craindre la déchirure, les anathémes, les blessures qui ne se refermeront que dans des années. faisant à vie des fabiusiens, des strauskaniens et de ségosistes. D'autres cherchent, épluchent les textes, décrivent les différences et font un travail sur eux-mêmes !
Et toi Francis ? Tu causes , tu causes mais t'es pour qui ?
Je suis pour Strauss-Kahn, je suis persuadé que le débat à venir est sur l'économie, la redistribution, le chomage, la formation, le logement. Dans ce débat il faut du recul, de l'expérience et une vision.
Quand on met en avant la sécurité, les immigrés, les gens réagissent avec leurs tripes. Nous ne sommes plus dans la raison mais dans l'affect, dans l'image télé, dans le ressenti et ça pue la défaite.
Face à Sarko, Le Pen et De Villiers faut du tonus, des convictions, du poids et Ségolène me parait fragile ébranlable dans ses convictions, et Fabius trop lisse trop calculateur.
Voyez nous sommes dans le ressenti, dans la méthode et peu sur le fond (un projet pour tous, tous pour le projet !).
Chacun essaye de se différencier, à chacun de trouver le meilleur candidat pour la France de demain.

12 octobre 2006

Devoirs d'été


Le fait de frotter les pierres en tuffeau m'a donné des idées. La pierre est tendre, d'un blanc éclatant. Elle se laisse apprivoiser avec quelques outils basiques : une scie à buche suffit pour les découpes, des ciseaux à bois pour les traits, les plats, les arrondis. Un crayon, une équerre compléteront l'outillage, sans oublier le clou de charpentier que permet de préciser le trait.